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cet icône,
quand vous le rencontrerez, vous emmènera directement
à nos magasins de vente |
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Tony Hymas joue Léo Ferré (aussi sur scène) |
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Illustration par Daniel Cacouault |
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Tony Hymas sera en octobre sur scène à trois reprises pour jouer Léo Ferré.
Le 4 à Cenon (33), Le Rocher de Palmer - 19h30
Le 7 à Limoges (87), Espace Cité - 20h30
Le 8 à Tulle (19), Salle de l'Auzelou - 21h30
La presse s'est fait l'écho de cet album.
« De bout en bout, Hymas joue Ferré avec sensibilité, attention et inventivité. »
Sylvain Siclier - Le Monde - 6 juin 2016
« Un vrai défi superbement relevé : ces mélodies nous parlent. »
Thierry Giard - Culture Jazz - 31 mai 2016
« En réduisant pour piano ses mémorables chansons, Tony Hymas fait délicatement et généreusement ressortir la tristesse du misanthrope et les blessures de l'âme plutôt que ses révoltes. »
Jean-Jacques Birgé - Médiapart - 10 juin 2016
« Subtil et majestueux, ça fonctionne sur tous les titres et c’est enchanteur. Pour le moins. Foncez ! »
Jean-Pierre Simard - L’autre quotidien - 21 juin 2016
« D’où, loin de toute pesanteur taxinomiste, une suite de variations en trois bouquets de chansons amoureusement réparties à l’aune de camaïeux thématiques à partir de La vie d’artiste, L’affiche rouge et Les anarchistes, irrésistible ouvrage moins de “relecteur” que de compositeur/improvisateur comparable au travail des meilleurs inventeurs et orfèvres du jazz tels que Coleman Hawkins ou John Coltrane nous offrant des Body and soul et My Favorite Things chaque fois plus inouïes et envoûtantes. »
Philippe Carles - Jazz Magazine / Jazzlive - 27 juin 2016
« Le chef d’œuvre du disque est peut-être cette version sublime de Est-ce ainsi que les hommes vivent, avec ce monde dont Hymas fait sentir l’or, la pourpre et les odeurs de décomposition. Vraiment très fort. »
Jean-François Mondot - Jazz Magazine - Juillet 2016 (Choc)
« Ce n’est d’ailleurs pas la moindre force de ce disque que de montrer le lien indéfectible qui relie la mélodie aux couleurs et dynamiques qui la sous-tendent. »
Nicolas Dourlhès - Citizen Jazz - 10 juillet 2016 (Élu Citizen Jazz)
« Avec le temps, le pianiste anglais s’est imposé comme l’un des musiciens les plus attachants de la scène européenne. »
Franpi Barriaux - Citizen Jazz - 10 juillet 2016
« Laissons-nous transporter par cet ouragan de passion. »
Jean-Louis Lemarchand - Les dernières nouvelles du Jazz - 14 juillet 2016
« On suit les 15 titres bout à bout grâce au traitement d’Hymas : inspiré, caressant, exacerbé, en permanence respectueux, contrasté. Chaque écoute m’a révélé une perle nouvelle. Léo Ferré vit. Le vieux lion a planté un drapeau de feu dans le cœur du pianiste. »
Bruno Pfeiffer - Libération - 20 juillet 2016
« Soit, à l’arrivée, une relecture panoramique et inspirée d’un univers qu’on croyait à tort assujetti à la parole … »
Stéphane Ollivier - Jazz Magazine - août 2016
« Un véritable bijou»
L'écho - 4 octobre 2016
Tony Hymas joue Léo Ferré (nato 5054 distribué par L’Autre Distribution)
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