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Article de Nato
 
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Le message sera suivit du texte de l'article Adam Linz, le vaillant contrebassiste de Fat Kid Wednesdays, un des piliers solides de la vie musicale des Twin Cities, livre ici son deuxième mémoire solitaire en un EP de quatre titres précisément intitulé :
A kiss for luck.

Quatre directions ! De tous les vœux, de toutes les espérances, de toutes les observations, voilà bien les plus sûres, les plus propices à regarder le ciel à l’endroit, à trouver sa route, quatre directions dont deux sont empruntées au terroir ancien (Ornette Coleman) ou récent (Jim Black) et deux des nouvelles évocatrices, histoire d’avoir les bonne marques. Le geste est ample et assuré, il joue en un doigté précis avec les contrejours et la lumière ronde. Il y va. Et l’homme chante et pique et colle et gramme avec âme. Le baiser porte chance. Si nous nous trouvions dans un journal de Jazz, nous terminerions ce petit billet par INDISPENSABLE. On ne saurait mieux dire pour cet hymne à voix basse.


Adam Linz, A kiss for luck - Larusso 01 ">