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Article de Nato
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Bonjour, J'ai trouvé cet article sur le site http://www.natomusic.fr Je pense que cela peut t'intéresser.
Le message sera suivit du texte de l'article
Le grand amour
avait surpris son monde à sa parution en 1985 avec cette soufflante "Arithmétique amoureuse" typique de l'alchimie du guitariste
Jean-François Pauvros
. Suite délicieusement illogique
Hamster Attack
poursuivra en 1987 cette forme d'indirecte induction à tendance explosive, l'explosion comme la forme la plus achevée du romantisme. Deux albums forts du guitariste - années 80 - enregistrés pour nato. Il retrouvera les disques nato pour deux de leurs plus fameux disques à thèmes : les
Bandes originales du Journal de Spirou
pour un titre ainsi que
Buenaventura Durruti
avec le thème étendard "Memorias Del Olvido". Et comme la patience est, comme le dit le proverbe "
la plus grande marche vers l'amour
", il aura fallu attendre 33 ans après l'attaque du hamster pour ce fracassant troisième opus
À tort et au travers
. Cette fois, Jean-François Pauvros y forme un trio avec l'organiste Antonin Rayon et le batteur chanteur Mark Kerr. Ici la musique relie ces vastes expériences, les relit même, alimentée par la hardiesse émulative de l’organiste et du batteur. La musique peut alors se jouer des rayonnements existentiels quand soudain, de l’écrin bouleversé sort une chanson, marque éperdue d’entente humaine. Les trois hommes défient, par tous les chants, les injonctions du temps en paysages enracinés, circonstances déracinées, une main tendue vers Rimbaud : "
Sont-ce des airs populaires, des bouts de concerts seigneuriaux, des restants d'hymnes publics ?
"
Jean-François Pauvros avec Antonin Rayon - Mark Kerr :
À tort et au travers
Illustrations :
Zou
(nato 5569 - distribution : L'Autre Distribution)
«
Depuis quarante ans, le label nato entretient ce feu qu'il a moins dérobé que repris. Mes preuves Votre honneur ?
À tort et au travers
, le chapitre le plus récent d'un des fidèles de cette bande d'"incontrolados", Jean-François Pauvros.
»
Francis Marmande
in Le Monde
(sélection des cinq albums de l'année) 25 décembre 2020
«
(...) passant de la construction à la déconstruction, de l’improvisation à la chanson, du free rock azymuté à des fulgurances textuelles, de la fièvre à la catatonie, du spasme à la décontraction, bref par tous les extrêmes humoraux et soniques dont le groupe est capable, et ce dérèglement des sens a fait un bien fou en ces temps d’austérité existentielle..
»
Stéphane Fougère
in Rythmes Croisés
18 décembre 2020
«
Ce trio s’amuse avec la matière sonore. On triture, on torture, on explose. La guitare pauvrossienne bien au-dessus de la mêlée, dingo et volubile. Un peu de poésie vient fignoler, voix chaude de Pauvros, le travail d’architectes du chaos des trois compères.
»
Lucas Texier
in Point Break
9 décembre 2020
«À tort et au travers
est un objet discographique non identifié déboussolant. C'est-à-dire que n'importe qui pourra l'aimer, surtout qu'avec tout ça
À tort et au travers
est un merveilleux album.
»
Pierre Tenne
in Jazz News
octobre-novembre 2020
«
Pauvros est là, éternel, bel et bien inspiré quelle que soit la cadence.
»
Pierre Cécile
in Le Son du Grizzli.
26 septembre 2020
«
Curieusement en phase avec son époque, le trio la traverse musicalement pour le meilleur en appuyant là où ça fait mal. Souvent proche du noir dans lequel les trois musiciens se déchainent, leur musique suinte par tous les pores pour mieux « anéantir cette comédie » où les moindres états d’âme deviennent des opinions péremptoires, des mantras ou toutes sortes de foutues conneries aussi insipides et essentielles qu’un discours de premier ministre (de deuxième, de troisième, etc). Montez le volume au-delà du supportable et laissez-vous décrasser le cerveau, à tort et au travers bien sûr. Sachez enfin que Jean-François Pauvros n’est pas remboursé par la Sécu. On se demande bien pourquoi.
»
Yves Dorison
in Culture Jazz.
21 septembre 2020
«
Un album qui vous décolle la pulpe du fond.
»
Dominique Boulay
in Paris-Move.
16 septembre 2020
«
À tort et au travers est une œuvre pleine et entière : son contenu est une exaltation pour l’oreille, son contenant est une délectation pour l’œil. Et elle a suffisamment de goût pour nous laisser langue pendante… Même rassasiés, on y revient, hagards et avides.
»
Stéphane Fougère
in Rythmes Croisés.
15 septembre 2020
«
Vous aimez Arto Lindsay, Adrian Belew, Jeff Beck, Marc Ribot et James Blood Ulmer ? (Liste non exhaustive). Vous aimerez ce disque qui s'affranchit des rigueurs stylistiques pour mieux s'inventer un genre, le sien.
»
Noadya Arnoux
in Jazz Magazine
n°730, septembre 2020
« À tort et au travers
est un très beau disque. Une présence poétique s'y déploie tout le long du propos.
Un flux d'énergie douce et de détermination épanouie résistent à l'âpreté du monde.
»
Fabien Barontini, 21 septembre 2020
«
Neuf morceaux structurés sur lesquels les trois musiciens, se complétant parfaitement, varient les ambiances et les rythmes (...). À tort et au travers est un beau disque hors des modes, à écouter sans idées préconçues.
»
Philippe Thieyre
in Rock'n'Folk
, septembre 2020
«
Pour peu qu’on déroule les rencontres de ces trois zigues, on entre dans un de ces mondes parallèles qui effraient les plus téméraires. Et là, c’est très fort ! Tout dérape, tout échappe, tout s’emmêle. Avant- garde ? Cela ne se dit plus. Post-punk, si l’on veut, tendance « drone metal » : captivant.
»
Francis Marmande
in Le Monde
, le 7 août 2020
«
Bref un mélange détonant, détonnant aussi parce qu'il casse les codes, et qui nous étonne par la somptueuse diversité de ses inspirations.
»
Xavier Prévost
in Les Dernières Nouvelles du Jazz
, le 6 août 2020
«
Cette galette est pleine de surprises, comme si chacun avait la fève à tour de roll. Trois petits rois illuminés qui auraient attrapé la fièvre du samedi soir. Avec eux on ne s'ennuie pas. Grand échalas courbé sur sa guitare, Don Pauvros donne du manche à coups d'effets. À une époque, on aurait appelé free-rock cette ébriété, pour clamer la liberté et son fantôme, ou pour endiguer la transe sans en faire des tonnes.
»
Jean-Jacques Birgé
in Mediapart
, le 26 juin 2020">
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