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Fat Kid Wednesdays
Singles
Hope Street 6 - sortie
30-10-2006
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Ces gamins de Minneapolis, sans fausse pudeur et sans gêne, prennent le jazz à bras le corps dont ils revendiquent bien fort et avec élégance les vertus essentielles.
Les gros garçons du mercredi, Michael Lewis, Adam Linz et JT Bates se présentent dans Singles, enregistré à Minneapolis, simplement comme l’époustouflant trio auquel va si bien la devise Liberté, Égalité, Fraternité, comme l’indiquait dans une interview de Jazz Magazine François Tusques grand fan des Fat Kid Wednesdays. Quelques originaux, deux standards, un titre méconnu d’Ornette Coleman, un autre de Vince Mendoza, ou encore cet « Epitaph for a war » de James Horner, des reprises de titres de contextes plus inattendus tels cet « Untitled » de Richard Devine, ce « That little sportscar » des fameuses Shaggs, cet « Unrecovery » de Duster et beaucoup (mais beaucoup) de swing. Un art de vivre la musique comme depuis toujours et pour toujours, ne faisant pas mentir le dicton précisant que « la nouveauté, c’est seulement la sensibilité de l’artiste. »
CD - Hope Street 6 (2006)
« Michael Lewis (saxophones), Adam Linz (basse) et JT Bates (batterie) cultivent en commun ce petit quelque chose, souvent indéfinissable, qui permet d'emporter d'emblée l'adhésion de l'auditeur. Peut-être parce que, outre la complicité qui les lie depuis leur scolarité, leur désir presque physique de remodeler le jazz contemporain s'appuie sur le respect qu'ils professent envers les anciens. »
Serge Loupien in Libération, 9 décembre 2006
« On ne croise plus les bribes éclatées de l'Internationale, comme en 2005, et pourtant, le sens lyrique développé invoque une autre forme de dissidence. Moins soudaine, moins évidente, elle avance masquée, à l'image du traitement du titre « That Little Sportscar », pour surgir d'un coup, fort et vif. Dans un environnement complexe et dense, ces courants d'air secs et amers passent pour une lucidité bienvenue. »
Guillaume Bregeras in Jazzman, décembre 2006
« … trio moderne et créatif à la fois inscrit dans la tradition et la folie des re-visites de standards… Excellent disque pour comprendre la musique structurée / improvisée du 21ème siècle. »
Laurent Bataille in Batteur Magazine, mars 2007
« (…) on retrouve ici avec plaisir Lewis (sax), Adam Linz (contrebasse) et JT Bates (drums). Mais d'abord ce saxophoniste teigneux qui évoque le jeu dirty des saxophonistes du Sud et celui, liquéfié, de certains fous du free, Albert Ayler en tête. » Bernard Loupias in Le Nouvel Observateur, 18 janvier 2007
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Michael Lewis : saxophonesAdam Linz : contrebasseJT Bates : batterie
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Jean Rochard assisté de Crystal Raffaëlli
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Joe Johnson, Eli Stone, Isabelle Davy
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Daniel Cacouault, Sasha Zukanoff, Marianne Trintzius
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Disques
| Fat Kid Wednesdays, The Art of Cherry – Nocturne HS10045 (2004) |
| Mountain, Clumbing – Columbia |
| Dexter Gordon, Our man in Paris | Films
| John Cassavetes, Too late blues (1961) |
| Tim Burton, L’Etrange Noël de Mister Jack |
Livres
| Nick Hornby, High Fidelity |
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street
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