|
|
|
|
|
cet ic�ne,
quand vous le rencontrerez, vous emm�nera directement
� nos magasins de vente |
|
|
|
|
|
|
Tony Hymas
Tony Hymas joue Léo Ferré
nato 5054 - sortie
27-05-2016
|
C’est en 1997, à la Maison de la Radio, qu’ « Avec le temps », fameux titre de Léo Ferré, fait son entrée au répertoire de Tony Hymas.
Quelque chose vibre, « Avec le temps » s’installe, s’incruste même, dans le répertoire du pianiste pour ses différents trios. Cette chanson devient même le thème, en 2003, d’une soirée où Mœbius dessine en direct avec le trio. À Dominique Queillé dans le journal Libération, il confie : « C’est une magnifique pièce au piano comme la Sonate au clair de lune, de Beethoven ». Hymas l’enregistre finalement en 2011 dans son album en trio Blue Door avec les Bates Brothers. « Avec le temps », un fragment qui va rejoindre la poésie ouverte du pianiste pour une histoire forte.
Le sens intime de l’œuvre de Ferré questionne Tony Hymas. Il écoute, il cherche doucement dans l’immense répertoire.
En 2015, des proches de Ferré lui demandent de participer à un concert où s’expriment principalement des chanteurs. Le piano devra chanter donc. Il bouleverse alors l’assistance par une suite de 20 minutes de titres de Léo Ferré. L’univers du chanteur fascine de plus en plus le pianiste qui se plonge dans la signification des textes, leur relation avec la musique, leur intensité éclatée. L’enjeu est là, le seul piano devra tout traduire. Une seconde suite voit le jour qui provoque le même enthousiasme. Puis une troisième pour une troisième présentation publique. L’enregistrement de ce récital s’impose.
Léo Ferré admirait Ravel, le voilà pleinement perçu comme compositeur, de musique et de mots, de musique donc. De langage !
Tony Hymas joue Ferré, un album qui offre toute la lumière sur la force combinée pour un seul instrument de la musique et de la poésie et qui devrait, comme l’a dit un de ses premiers auditeurs, « ravir tous les amoureux du piano au sens le plus large, ceux qui aiment ses grands voyageurs : Keith Jarrett, Glenn Gould, Paul Bley, Brad Mehldau, Martial Solal, Maria João Pires, Giovanni Mirabassi ou Bill Evans ».
|
|
|
|
1 - La vie d'artiste
La vie d'artiste
|
(Léo Ferré - Charles Saut - Léo Ferré / Editions Méridian)
|
2 - Les poètes
Les poètes
|
(Léo Ferré / Editions Méridian - La mémoire et la mer)
|
3 - La mémoire et la mer
La mémoire et la mer
|
(Léo Ferré / La mémoire et la mer)
|
4 - C'est extra
C'est extra
|
(Léo Ferré / Editions Méridian - La mémoire et la mer)
|
5 - Jolie môme
Jolie môme
|
(Léo Ferré / Editions Méridian - La mémoire et la mer)
|
6 - L'affiche rouge
L'affiche rouge
|
(Léo Ferré - Louis Aragon / Editions Méridian)
|
7 - Vingt ans
Vingt ans
|
(Léo Ferré / Editions Méridian - La mémoire et la mer)
|
8 - L'amour fou
L'amour fou
|
(Léo Ferré / Editions Méridian - La mémoire et la mer)
|
9 - Le pont Mirabeau
Le pont Mirabeau
|
(Léo Ferré - Guillaume Apollinaire / Editions Méridian)
|
10 - L'espoir
L'espoir
|
(Léo Ferré / La mémoire et la mer)
|
11 - Les anarchistes
Les anarchistes
|
(Léo Ferré / La mémoire et la mer)
|
12 - L'oppression
L'oppression
|
(Léo Ferré / La mémoire et la mer)
|
13 - Petite
Petite
|
(Léo Ferré / Editions Méridian - La mémoire et la mer)
|
14 - Thank you Satan
Thank you Satan
|
(Léo Ferré / Editions Méridian - La mémoire et la mer)
|
15 - Est-ce ainsi que les hommes vivent ?
Est-ce ainsi que les hommes vivent ?
|
(Léo Ferré - Louis Aragon / Editions Méridian)
|
|
|
|
|
Tony Hymas : piano
|
|
|
|
|
Jean Rochard, assisté de Christelle Raffaëlli
|
|
|
|
|
Clément Gariel, Bernard Faulon
|
|
|
|
|
Daniel Cacouault, Eric Legret, Marianne Trintzius
|
|
|
|
|
Disques Léo Ferré, Ferré 64 - Barclay Léo Ferré, Amour Anarchie (vol. 1 et 2) - Barclay Léo Ferré, Il n'y a plus rien - Barclay Léo Ferré, L'espoir - Barclay Hymas & the Bates Brothers, Blue door - nato
Livres Martine Laval, Le jour où ça m'est arrivé - Carnets nord Léo Ferré, Testament phonographe - 10-18 Philippe Ganier-Raymond, L'affiche rouge - Fayard Éric Alary, Il y a 50 ans, Mai 1968 - Larousse Lena Gourmelen-Eric Legret-Jean-Daniel Bourdonnay, Gouren : lutte et défis d'un sport breton - Coop Breizh
Films
Jean Eustache, La maman et la putain (1973) Jean-Pierre Mocky, L'Albatros (1971) Tancrède Ramonet, Ni Dieu ni Maître (parties 1 à 4) (2016 - 2022) Basil Dearden, La Cage d'or (1950) Jean-Luc Godard et Anne-Marie Miéville, Numéro deux (1975)
|
|
|
|
|
|
|
hope
street
nato
chabada
cin�nato
wan+wan
satellites
|
|
|
|