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Sam Rivers - Tony Hymas
Winter garden
777 769 - sortie
30-04-1999
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Et si ce que racontait tout d’abord et très simplement ce disque, c’était que, débarrassé de toute panoplie et riche de sa danse la plus intérieure, le jazz était possible, réellement possible au vu et su de tout le monde ?
Décembre 1998, Ocoee, ancien village au nom séminole devenu banlieue forcée d’Orlando au bord du Starke Lake : Sam Rivers et Tony Hymas enregistrent le troisième volet de leurs aventures phonographiques pendant que Pascale Ferran, réalisatrice accompagnée d’une petite équipe, filme le travail des deux musiciens pendant quatre jours pleins pour ce qui deviendra Quatre jours à Occoe, magistral documentaire prenant sa place dans les grands films de musique.
Cet enregistrement offre une suite de treize morceaux où alternent ballades (« Ahneen » dédié à Barney Bush), tempi alertes (« Impulse »), blues libres (« Twelwe ») et standards faits maison (« Jennifer »). Ce qui frappe, c’est l’étonnante concentration entre les deux hommes. Ils ne laissent rien passer, sont exigeants et rieurs. Ces exigences et ces sourires, reflets directs de deux parcours riches et peu ordinaires, participent à l’édification de cet objet rare.
CD - 777 769 (1999)
« On préfère le duo que Sam Rivers forme avec le libertaire pianiste de jazz britannique Tony Hymas. Leur troisième disque est un kaléidoscope de mélodies et d’improvisations libres. »
Michel Contat in Télérama, 30 juin 1999
« Ce qui nous vaut un bijou de dialogue, un jazz de chambre à la fois détendu et concentré, jamais ‘daté’ (free, bop, etc.), où la musique mène tout son monde par le bout du nez. Exquis. »
Bernard Loupias in Le Nouvel Observateur, 3 juin 1999
« Preuve que ces deux là ont atteint naturellement ce sommet de liberté constituant l’essence même du jazz tel qu’il devrait se pratiquer. »
Serge Loupien in Libération, 29 mai 1999
« Enfin la chaleur et l’émotion qui ressortent des échanges aussi bien que des sons – toucher du pianiste, couleurs des saxes et de la flûte – démontrent qu’au-delà de la complémentarité de ces deux musiciens exigeants, s’est nouée une véritable complicité dont nous voici les heureux témoins. »
Oliviers Gasnier in Classica, juillet-août 1999
« Pari hautement tenu qui fait de Winter Garden une denrée rare dans le paysage contemporain, à condition de tenir le jazz pour ce qu'il a toujours été, non pas un répertoire pour bons élèves en mal de reconnaissance, mais une musique ouverte aux micro-événements en tout genre et aux idées incarnées dans l'instant. »
Thierry Jousse in Les Inrockuptibles, 30 mai 1999
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1 - Glimpse
Glimpse
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(Rivers / éditions musicales nato)
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2 - That which might have been
That which might have been
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(Tony Hymas / éditions musicales nato)
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3 - Impulse
Impulse
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(Rivers / éditions musicales nato)
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4 - Twelve
Twelve
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(Rivers - Hymas / éditions musicales nato)
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5 - Ahneen
Ahneen
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(Hymas / éditions musicales nato) - dedicated to Barney Bush
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6 - Sunset
Sunset
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(Rivers / éditions musicales nato)
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7 - Jennifer
Jennifer
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(Hymas / éditions musicales nato)
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8 - Ten
Ten
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(Rivers - Hymas / éditions musicales nato)
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9 - Rapture
Rapture
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(Rivers / éditions musicales nato)
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10 - Iris
Iris
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(Rivers / éditions musicales nato)
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11 - Eleven
Eleven
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(Rivers - Hymas / éditions musicales nato)
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12 - Nine
Nine
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(Rivers - Hymas / éditions musicales nato)
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13 - Everafter
Everafter
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(Rivers / éditions musicales nato)
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Sam Rivers : saxophones ténor et soprano, flûteTony Hymas : piano
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Jean Rochard
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Gary Baldassari, Frédéric Marin
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Jiair, Carole Réman, Bruno Metge, Pascale Ferran, LCAG
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