One Another Orchestra : sortie le 24 mai 2024 !
   
 

Catherine Delaunay, Nathan Hanson, François Corneloup, Tony Hymas, Hélène Labarrière et Davu Seru, avec le renfort de Billie Brelok, se réunissent. Ça va de soi.

Ensemble, ils déroulent une feuille d'histoire musicale à taille de ciel, un répertoire à vivre comme la plus active des sources, la plus nécessaire.

Tous pour
ONE


Beb Guérin (1) avait composé une sorte d'hymne "Kronenche" qui arrivait, au long des années 70 en point d'orgue et en désordre de bataille où "La volonté d'échapper à l'apparence aboutissait à changer d'apparence." (2)
Pour le film de Jean-Louis Comolli La Cecilia, Michel Portal avait fait surgir une musique adéquate. Jean-Louis Comolli commentait : "L’utilité des utopies se mesure aux résistances qu’elles rencontrent".
Federico Garcia Lorca fut le sujet, par ses poèmes dits par Violeta Ferrer, du second album nato. La "Romance de la guardia civil española" continue de brûler d'actualité. « L’imagination est embrasée. »

ANOTHER

Pour tous


Les éclairs de luttes infinies transmettent leurs chants : de l’Erythrée à Standing Rock en passant par les rues de Philadelphie ou les portraits de quatre femmes noires souffrantes, jusqu'à murmurer, chanter, crier qu'on est bien là dans les rues de France.

Alors qu’il se fasse un
ORCHESTRA

Comme autant de rappels où Lol Coxhill dansait en exotisme inventé (en invention exotique), où Jacques Thollot cadençait en « Cinq hops », où Sidney Bechet ne gâchait pas ses larmes, où Jef Lee Johnson caractérisait le mouvement, où les colombes twistaient again.

Et Catherine Delaunay, Nathan Hanson, François Corneloup, Tony Hymas, Hélène Labarrière, Davu Seru, apportent leurs originaux, leurs arrangements, leurs assemblages, leurs ajustements, leurs chaos généreux, comme autant de sommes d’expression amicale. One + Another + Orchestra = pas de "reprises", mais une immersion dans un répertoire de passé résistant, un monde qui nous attend encore (3) qui est de toute leur chair, de toute leur âme, avec, en pleine liberté, l'empreinte de demain.


(1) François Méchali-Beb Guérin, Conversations - nato 5 – 1980 (premier disque nato)
(2) Georges Bataille, Le Coupable, Gallimard - 1944
(3) Josep Rafanell di Orra



 
One Another Orchestra (nato 5890) - sortie le 24 mai 2024 !

La dessinatrice (et aussi scénariste de BD) Nathalie Ferlut a dessiné illustrations de couverture et de livret.

La presse en parle :

"Another, l’autre, celui qui nous interroge ou qui nous inspire. Le rôle de cet orchestre ne se limite pas à enchanter et à inventer des paysages sonores captivants, il délivre des espoirs de liberté, de fraternité et affirme son profond engagement humaniste.s. "
Mario Borroni in Citizen Jazz - 23 Juin 2024

"Le dernier chef-d'œuvre paru chez nato, One Another Orchestra. "
Sir Ali in Fréquence K - 18 Juin 2024

"Ça chante, ça danse, ça médite, ça milite, ça murmure, ça éclate (...) Nul esprit de "reprises", au contraire : une re-création généreuse. Le plus curieux étant que ce qui aurait pu passer naguère pour un album expérimental est la surprise la plus réjouissante, saluée par tous les critiques. "
Francis Marmande in Le Monde - 8 Juin 2024

"Coup de maître !"
Alex Dutilh in France Musique - Open Jazz - 4 Juin 2024

"Les éclairs de luttes infinies transmettent leur chants : de l'Erythrée à Standing Rock en passant par les rues de Philadelphie ou les portraits de quatre femmes noires souffrantes, jusqu'à murmurer, chanter, crier qu'on est LÀ dans les rues de fronde. Le sentiment One Another Orchestra apparaît, amicalement, comme une étincelle."
in France Musique - page de présentation de l'émission Open Jazz - 4 Juin 2024

"L’un l’autre orchestre à l’honneur."
in News Day FR - 4 Juin 2024

" On découvre ce splendide album du groupe One Another Orchestra qui explore plusieurs univers, qui offre un croisement idéal de cette tradition jazz et son évolution personnelle à travers cette modernité, cette originalité, ce puzzle de plusieurs influences rock funk jazz chansons qui donne une force à ses superbes instrumentations qui trouvent d'excellentes combinaisons. "
Alain Dupeux in Radio Rec - 3 Juin 2024

"Se souvenir autrement de ce qui ne peut demeurer immuablement même, identique au souvenir arraché au fil du temps. (...) Nostalgie ? Que non ! Cri d’amour joyeux et obstiné (...) Et une plage résume peut-être ce qui, précisément, ne saurait être rejoué, et pourtant nous saisit comme le retour d’émotions surgies du passé : la Romance de la Guardia Civil española, ici dans la voix de la rappeuse Billie Brelok, fait resurgir en nos mémoire la façon dont Violeta Ferrer portait ces mots de Federico García Lorca, comme une tragédie immémoriale."
Xavier Prévost in Les dernières nouvelles du Jazz - 2 Juin 2024

"Ce disque embrasse tous les continents, et toutes les temporalités : il semble d'hier, d'après demain et ancré dans aujourd'hui. (...) La colère en musique n'est une vertu en soi que si elle sait creuser un chemin lyrique. C'est le cas ici."
Jean-François Mondot in Jazz Magazine (En une de la sélection "Les Chocs") - Juin 2024

"Et quelle boîte à frissons qui vous entreprend par surprise à dévoiler l’inattendu d’une subtile alchimie qui évolue d’écoute en écoute, à se voir préférer d’abord la Romance de la Guardia Civil española pour ensuite succomber à la version réjouissante de la Paloma, puis ensuite au Move. "
Jean-Pierre Simard in L'Autre Quotidien - 30 mai 2024

"Expériences de plusieurs genres, de plusieurs apprentissages, de plusieurs maturités conjuguées sont là de haut vol, de plein fouet, d’hardie vigueur."
in Jazz In - 24 mai 2024

"Comme toujours chez nato, l’idée n’est pas de "faire un disque" (de plus...) mais de produire une œuvre commune porteuse de sens. Cette fois, c’est la question "De quoi demain sera fait ?" qui aura déclenché le processus créatif (...). Ce disque est une des belles réussites de ce début 2024... En attendant de savoir de quoi demain sera fait, on a surtout envie de pousser à nouveau la touche "Play"... Vous reprendrez bien la même chose ?"
Thierry Giard in Culture Jazz - 18 mai 2024

«On sent le plaisir d'être ensemble. La musique est légère. On sent le poids de la passion. La musique est grave. On sent le lyrisme de la résistance. La musique est juste de la musique. On sent la chaleur qu'on a en soi et que l'hiver politique avait laissé refroidir.»
Jean-Jacques Birgé in Médiapart - 1er mai 2024

 
 
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