Mael Lhopiteau
Mael Lhopiteau : harpe
Natif de Quimper en 1988, ville de confluence, Mael Lhopiteau commence l'apprentissage de la harpe celtique avec son père, facteur de harpes, dès l'âge de 7 ans. Il devient ensuite élève de Dominig Bouchaud au sein du Conservatoire de musiques et d'art dramatique de la ville.
La harpe celtique n'est pas sa seule attache à la culture de ce pays de Bretagne puisqu'il effectue toute sa scolarité en breton. Il est frappé de bonne heure par le kan ha diskan, chant traditionnel à danser. Il s'y essaie dès l'adolescence auprès d'Eric Menneteau, de Louise Ebrel ou encore de Lors Landat. Il chante avec Louise Ebrel et joue de la harpe dans le groupe Safar.
En 2006, le harpiste entame des études d'ingénierie mécanique, mais investit encore davantage son activité de musicien en intégrant le groupe Plantec. Passionné de recherche, il s'adonne à celle des possibilités du son de la harpe électrique. Sa rencontre avec l'accordéoniste Timothée Le Net l'amène à la fondation du duo Le bénéfice du doute dont le premier disque est prévu en 2014.
Stéphane Cattaneo, illustrateur, est fréquemment invité à peindre avec le groupe lors des concerts. Tony Hymas - qui a repris avec son trio un morceau du Bénéfice du doute - est également invité du duo lors d'une soirée mémorable à la Roche-Bernard le 2 août 2013.
Mael Lhopiteau a été l'hôte du quartet de Timothée Le Net lors de l'ouverture du festival de soutien à la résistance de Notre-Dame-des-Landes le 3 août 2013. Il participe également à d'autres formations au son plus rock (Skaramaka) ou ambient (Aranel avec le bassiste de Portishead Jim Barr).
En 2015 sort le premier album du Bénéfice du doute, illustré par Stéphane Cattaneo.
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